Ces années d’emprisonnement m’avaient habitué à vivre dans une semi-obscurité.
Faire rentrer la lumière du jour et l’air du dehors, dès mon levé, en ouvrant simplement la fenêtre de ma chambre, était un rituel nécessaire et violent à la fois. Ce geste simple, je l’avais temps de fois imaginé.
Photo & Texte : Tiou Tiou
Originally posted 2011-11-23 11:20:35. Republished by Blog Post Promoter